Toute l’équipe du lycée René Cassin vous souhaite de bonnes vacances d’hiver!
Nous aurons le plaisir de vous retrouver le lundi 26 février 2024!
Bonjour à toutes et à tous,
Nous tenons à remercier les parents d’élèves, les élèves investis et engagés , l’équipe de la direction, les CPE et les professeurs qui nous ont permis de réaliser notre projet à la ferme de St Yvière en Normandie.
Voici quelques images de notre séjour mémorable:
Merci à toute l’équipe en Normandie pour ce projet qui a marqué les élèves!
Les élèves de TM1 et TRHC
L’image est au cœur de nombreuses pratiques culturelles des jeunes. Un langage, une transmission, une sensibilisation, un message, mais surtout de la réflexion et une éducation artistique et culturelle. Je remercie sincèrement tous les élèves motivés, ,créatifs, ambitieux, engagés et surprenants par leur compétence, qui ne cessent de honorer cet espace depuis le début de l’année faisant du club-ciné une autre Histoire!
Bravo à toutes et à tous pour votre investissement remarquable et votre bon état d’esprit!
Un grand merci à Mme Tosan, professeure documentaliste, qui nous accompagne.
Je suis cette vie tumultueuse
Je suis ton regard
Je suis cette flamme qui s’éteint
Je suis cette lueur d’espoir
Je suis ce danger qui s’écarte
Je suis l’amour éternel
Je suis ce cœur brisé
Je suis la fumée qui stagne
Je suis les cendres qui s’envolent
Je suis cette violence involontaire
Je suis ces bombardements innocents
Je suis ce côté résistant
Je suis ce feu qui se propage
Je suis cette colombe consolatrice
Je suis le feu qui blanchit Je suis la PAIX.
Pour soutenir le ciné-club: https://www.festivalnikon.fr/video/2023/4850
O.Tokmak
Dans notre petit coin du monde, notre microcosme du lycée René Cassin, le club-ciné vous propose une courte production contre le harcèlement tout en transmettant des valeurs considérables : comme la solidarité, l’écoute, l’empathie, le dialogue, les chemins pour s’en sortir car il y a toujours des hauts et débats!
Ce travail de réflexion a été très enrichissant ( le choix du poème, de la musique, de la voix…) les élèves libèrent la parole, c’est un espace où la liberté d’expression ne fait pas débats et le travail en équipe est fructueux. Nous avons voulu montrer que le lycée est justement un espace ou l’on tend la main pour briser le silence.
Par ailleurs, ce court métrage complète l’affiche contre le harcèlement : nous nous sommes inspirés de l’exposition d’ARTS de M Deslandes, professeur d’ART, et particulièrement du tableau d’une élève de TG LEANA GONCALVES , qui traite du débordement pour l’affiche.
Nous avons travaillé le slogan, les couleurs, le titre tout en restant fidèles à la production initiale l’objectif principal étant la prise de conscience pour sensibiliser les élèves à débattre et à oser élever les mots afin de ne pas déborder! L’art est un des moyens pour s’en sortir!
Ne pas agir face au harcèlement est laisser le mal s’installer, une complicité à regretter. AGIR, SOUTENIR, C’EST ENSEMBLE SE PROTÉGER!
Je tiens à remercier tous les élèves du groupe T STLBIO ( Widad, Lorick, Yacine, HAdes, Hasheer, Melvin, Kael, Gaia…et d’autres qui se sont investis pleinement dans ce projet! Vous êtes des artites talentueux et pertinents! Je vous félicite pour votre engagement exemplaire!
Le club-cinéma du lycée René Cassin
O.Tokmak
Bonjour à toutes et à tous,
L’équipe de Cassin Podcast a réalisé une nouvelle émission.
Nous sommes heureux·se·s de vous présenter un nouvel épisode de la rubrique “Mode” :
Bonne écoute!
Mesdames Benhamza et Antoine
Alice Schwab et Ana Lorvo ont proposé un spectacle dynamique, touchant et inspirant aux élèves du lycée René Cassin, le 23 janvier 2024 à la micro-folie de Gonesse.
Elles ont organisé des ateliers, ainsi qu’un temps d’échange à la fin de la représentation.
Libre de cojear ou Libre de boiter est un seul en scène en espagnol surtitré en français, de 1 heure, inspiré de Frida Kahlo. Frida Kahlo échappe miraculeusement à la mort suite à la collision d’un tramway et d’un autobus. Les médecins annoncent qu’il lui sera désormais impossible de marcher.
Sur scène, elle marche, elle court. Elle s’adresse aux passagers de l’autobus, à son père, à Diego Rivera.
Par le biais de marionnettes, elle invoque son passé et affronte ses souffrances, jusqu’à l’apaisement.
Pour la deuxième étape, les élèves devaient apporter un objet personnel et le déposer dans le tramway. En s’inspirant de cet objet, ils devaient écrire une histoire puis monter sur scène pour la présenter.
Ce fut un moment de partage mémorable, inspirante et remarquable. Les artistes félicitent le talent et la réactivité des élèves!
Les productions seront affichées au CDI, à la rentrée.
Nous remercions les artistes ainsi que la micro-folie de Gonesse pour leur précieuse collaboration.
O. Tokmak
Professeure d’espagnol
