Le Club Danse « El ritmo de Cassin » reprend son rythme!

Liez votre cursus scolaire avec la danse !

Un parcours artistique au sein de son parcours de lycéen, un univers différent et enrichissant pour un moment convivial. Le tout dans un espace authentique et culturel pour un voyage unique en Espagne car le Flamenco est une discipline qui allie la danse, le chant, la guitare et les palmas (claquement de mains).

 Un large panorama proposé car le Club Danse vous fait également danser  sur des pas de Salsa.

Des axes de travail comme l’enseignement chorégraphique, musical et rythmique… !

Partant(e) pour cette aventure ?

Où ?  E-Salle

Quand ? Les jeudis de 13h10 à 13h50

Avec Mme Del Pino Ruiz

Pour des informations complémentaires, vous pouvez contacter Mme Del Pino Ruiz ou Mme Tokmak.

Le ciné-club, les vendredis de 13H à 14H au CDI avec Mme Tokmak à partir du 30 septembre

Entre fictions et réalités, le club cinéma vous invite à plonger dans la magie du 7ème art !

Susciter la curiosité, découvrir, écrire, réfléchir sur le monde d’aujourd’hui, partager son avis, développer un esprit critique, s’ouvrir au monde, faciliter l’immersion dans les langues vivantes et les cultures étrangères, imaginer, créer, tourner et monter… ! Des moments forts où les élèves peuvent s’exprimer autrement et librement.

Voir, débattre, produire : trois étapes clés

Une autre façon de voir le monde en transmettant le goût du cinéma et développer son capital culturel et cinématographique en passant un moment convivial puisque le cinéma nous rassemble !

Mme O.Tokmak

 

“La Vie est un Songe” un court métrage réalisée dans le cadre du Ciné-Club, avec les voix des élèves du lycée

 

 

BONUS : interviews des élèves du Ciné-Club sur le thème du rêve !

 

Le club-cinéma du lycée René Cassin est aussi un espace d’échange et de partage!

Le thème de cette 12ème édition de Nikon Film festival est un rêve, mais qu’est-ce qu’un rêve?

Dans cette vidéo, vous retrouverez les interviews réalisés par Georgina, élève de 2nd, au sein du club-cinéma, des réflexions ô combien pertinentes accompagnées d’une bande-son crée par Mathieu, élève de Terminale STL!

 

 

#3020 : un court-métrage de lycéens contre le harcèlement

LE FILM :

LE PROJET :

Escales danse au lycée Cassin

S’initier à l’art chorégraphique par le prisme des cultures du monde arabe et de l’Afrique subsaharienne en classe de seconde

Ciné-Club : analyse du film Donnie Darko

Par Souffrant Delphine, élève en terminale littéraire

Contexte

Avec le club cinéma du lycée René Cassin je suis allé voir Donnie Darko, film réalisé par Richard Kelly, sorti en France le 30 janvier 2002 . L’acteur principal est Jake Gyllenhaal (Zodiac, Prisoners) dans le rôle qui l’a révélé au cinéma.
Nadège Ammouche (responsable jeune public au cinéma Jacques Prévert de Gonesse) m’as parlé de ce film sur l’adolescence qui l’avait énormément marqué, alors lorsque j’ai appris que ce film était diffusé au cinéma dans le cadre du ciné-club du lycée j’en ai profité.
Après 45 minutes (durée exagérée, ndlr) de marche entre le lycée et le cinéma avec le professeur-documentaliste qui nous disait qu’on était arrivé dans 5 minutes toutes les 5 minutes, je me suis dit qu’il avait intérêt à être bien ce film et a la hauteur de la publicité qu’on m’en avait faite.

Le film

Donnie Darko raconte l’histoire d’un adolescent normal a priori, qui vit dans une famille parfaitement dans la norme des banlieues américaines. Le seul problème de cet ado, c’est son mental. Il souffre de noctambulisme et d’hallucinations visuelles et auditives. Bien qu’il y ait une facette de ce personnage totalement malade, délirante et très dérangeante par moments, on s’attache à ce personnage. On s’attache à sa partie qui fait écho à un ado que nous sommes ou étions tous. En rébellion contre certains personnages qui manipulent leur entourage pour imposer une manière de voir le monde. En demande d’écoute de la part de certains adultes qui le feront à moitié car déjà conformés par la société qui impose un certain comportement sous la pression d’une majorité bien pensante. Cependant lors de ses phases délirantes Donnie n’as plus de limites et on ne sait plus sur quel pied danser. Car ses actions frauduleuses permettent de faire jaillir une vérité. On ne sait pas si on doit lui dire de s’arrêter ou de continuer. C’est l’excès, la démesure selon moi de la jeunesse qui veut faire le bien sans trop savoir comment. Comment utiliser ce temps qui nous file entre les doigts.

S.D.

 

Relecture, correction, édition : M. Atgé, responsable du ciné-club et professeur-documentaliste.